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à Paris...
ceci dit : je n'ai fait que de compléter l'explication de djudju à propos des peintres de la Renaissance en nommant le nombre d'or, retrouvé "à nouveau" chez les grecs depuis un siècle ou deux déjà je crois : ce qui me semble donc normal de leur part, ceux de la Renaissance : vu qu'on ne donnait le nom d'artiste à cette époque qu'à ceux qui étaient autant versés en philosophie qu'en mathématique et architecture. Aucun art ne se concevait alors autrement.
Leonard de Vinci se voyait beaucoup plus comme un architecte que comme un peintre. Ce qui convenait parfaitement à Laurent de Médicis, son mécène.
Ce qui n'est pas si éloigné de nous qu'on pourrait le croire : bon nombre de mathématiciens, d'informaticiens, d'architectes, de dirigeants de sociétés, de scientifiques de tout poil, pratiquent un art et souvent au plus haut niveau, même lorsuq'il ne s'agit que d'un "hobby" pour eux-mêmes.
En particulier, j'ai souvent remarqué pour moi-même que dans le cas de la peinture contemporaine : j'étais souvent attirée particulièrement par des peintres qui avaient de solides notions d'architecture. Sans que je ne le sache d'emblée d'ailleurs. Je l'ai souvent découvert après.
La littérature ou la poésie : c'est autre chose : on ne donne pas le nom d'artiste aux représentants de ces deux disciplines, même si parfois certains artistes y sont aussi très talentueux. |
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Matériel Photo : minimaliste et numérique : PRAKTICA DCZ 5.4
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