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moi aussi je voyage beaucoup : mais je n'en connais pas d'autre, façon de voyager, parce que je n'en souhaite pas une autre : l'immersion en milieu autochtone uniquement, que ce soit celui de la city de Londres, celui du désert...celui de NY, celui de las Vegas, celui d'arabie séoudite...de Korée du sud, du japon...
c'est la seule façon de voyager qui m'intéresse : quel que soit le prix...je trouve toujours le moyen de le payer...et les squats, ça m'y
Aide
bcp aussi...pas seulement les baraques....les avions pricés, les yachts particuliers de toute tailles, et du grasshopping dans les hôtels de luxe avec suite particulière assurée et gratos....
mais c pareil que ton voyage chez les touaregs, quelquepart...juste un peu moins complet peut-être que les miens.
Tu ne peux rapporter de tes voyages que ce dont tu es capable perso et qu'avec les moyens qui sont les tiens, et cela ne dépassera jamais les intérêts persos qui te font voyager. A chacun les siens. Plus ils seront nombreux et larges : plus tu rentreras avec plus dans tes bagages qu'au départ. Et plus tu te sentiras riche toi-même de ce que l'on t'auras donné. |
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Matériel Photo : minimaliste et numérique : PRAKTICA DCZ 5.4
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une expression idiomatique anglo/américaine : ça vient de
grasshopper => sauterelle
c'est la façon dont elle se déplace la sauterelle la bien-nommée : par bonds, par sauts...qui a donné lieu à cette expression.
alors, faire du "grasshopping", c'est faire comme la sauterelle : passer d'un endroit à un autre par bonds, en atterissant à chaque fois là où tu le peux, où ça te convient, et quand tu le veux : et si tu veux, tu peux faire le tour du monde comme ça, par exemple : si tu as à ta disposition une compagnie d'hôtels de luxe répartis sur toute la surface du globe...voili - c aussi simple que ça...
il y a aussi une compagnie de bus aux US qui porte le nom de : "the grasshopper" (la sauterelle) parce qu'avec elle : tu peux par bonds (ses stations) faire le tour des Etats-Unis avec de la même façon.
une autre compaginie de car (pardon, c'est "bus" en anglais les "cars" en français) a choisi de se nommer :
The Greyhound : le lévrier
parce qu'elle se considère comme la plus rapide, tel le lévrier, pour couvrir tout le pays. |
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Matériel Photo : minimaliste et numérique : PRAKTICA DCZ 5.4
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pour les reglements de compte les mp c est peu etre pas mal...?  |
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A Eric -
Les pros ne m'impressionnent pas forcément, et même bien moins que les autres : j'ai trop eu affaire à eux pendant des annés, et dans tous les genres. Je les connais trop bien.
J'ai peut-être aussi le droit de préférer les photos de Yann Arthus Bertrand, que je considère comme un créateur, au même titre que Dune, et si j'avais su que l'auteur était un professionnel et connu en plus, avec ce qu'il m'a débité, mes commentaires n'auraient pas été différents. Les photos de ce photographe me sont inconnues : il y a tant de photographes "connus" de par le monde...on ne peut pas les connaître tous. Par contre ses photos m'ont toutes rappelées du "déjà vu" : je n'appelle pas cela avoir un style. Je n'ais encore jamais vu jusqu'ici une photo réussie de Dune, me donnant cette impression.
Cet auteur donc connu, qu'en réalité il était plus proche du cliché que de la création par ses commentaires : on n'est en général le même dans tous ses moyens d'expression, lorsque qu'on y atteint la maîtrise de façon égale. De plus, je comprend pourquoi maintenant c'était assorti de morgue et d'arrogance, qu'il ne manie pas particulièrement bien : j'ai vu mieux dans le genre !
Et je continue à penser que l'idée de DjuDju aurait effectivement produit encore un meilleur résultat en ce qui concerne les trois points rouges, pour représenter l'idée de l'auteur. Et cela est venu de quelqu'un, qui lui, ne connaît peut-être pas du tout le pays des Massaï : il faudrait savoir desquels Massaï il s'agit d'ailleurs : cela n'a pas été précisé par l'auteur, il me semble. Même en précisant accidentellement qu'il s'agit du Kenya, ce n'est pas suffisant pour les situer. Je les ai reconnus moi : mais il y en a bien d'autres aussi.
Le coup du point rouge dans le vert pour résumer n'importe quelle idée géante : c'est pas nouveau. Pas plus que le chameau tout seul dans le désert pour en montrer l'immensité. J'en ai encore eu la preuve il y a qqs jours : un point rouge sur un parapluie pour représenter tous les orages du plus petit au plus grand : très réussi par l'auteur en plus, mais malgré tout un peu exagéré aussi : donc plus proche du gimmick.
Ce qui n'est jamais le cas chez Yann Arthus Bertrand, justement. Lorsqu'il utilise cette facilité, on ne la ressent pas comme telle chez lui, loin de là : en tt cas pas moi, puisqu'il s'agit souvent d'endroits résumés ainsi : que je connais particulièrement bien. De même lorsque Dune utilise le post-traitement : ce n'est jamais par facilité ou gratuit.
D'ailleurs, à ce sujet, Eric…j'apprécie grandement la force de caractère de Dune : certes, il tient compte de tes remarques éclairées sur son art quand il s'agit de ses bestioles : mais je serais bien déçue sur tous les plans par lui, s'il en arrivait à aller jusqu'à ce que tu semble exiger de lui parfois : ne faire que des photos dignes d'entrer sur une couverture de magazines sépacialisés dans l'entomologie. Que tu le fasses toi, me semble tout à fait remarquable : la photo n'est pas ta passion première : et tu réussi à faire le mieux possible pour pour atteindre ton but unique : l'éthologie dans l'entomologie..
Je suis beaucoup plus humble devant ce que je ne connais pas, cad devant des amateurs absolus, plus ou moins équipés pour s'adonner à cet art, la photo, comme il s'en trouve ici de nombreux : alors que je l'ai vécu volontairement en rapport avec les peintres déjà, cette expérience de terrain : cad entrer dans le monde de l'éclosion avant floraison : amateurs, ou professionnels moins connus : il est clair qu'ils n'en sont pas encore à vivre de leur gloire locale ou internationale : ce qui conduit parfois à perdre son âme avec, et n'est pas toujours recommandé. Il est parfois plus sage et plus productif pour soi-même de renoncer à toute gloire dans un domaine, afin de ne pas le pervertir et se pervertir avec : un danger dont sont tous conscients les vrais artistes professionnels. Ceci est vrai pour tous les pros de l'art en général, quel qu'il soit.
Beaucoup d'artistes "connus" qu'il m'a été donné de fréquenter, suffisamment intimement pour recevoir leurs confidences personnelles à propos d'eux-mêmes et de leur travail : en souffrent énormément.
Certains sont capables d'arrêter la machine : et se retirent volontairement pour pouvoir se retrouver, ou décider qu'ils étaient allés au bout d'eux-mêmes et qu'ils ne produiraient plus rien : ils ont alors changé de vie et on n'a plus entendu parler d'eux. Ceux qui ont fait leur remise en question totale : sont revenus, beaucoup moins appréciés du grand public d'ailleurs souvent : qui habitués à une autre style et une autre facette d'un artiste qu'on leur avait dit d'apprécier : ce grand public pensant rarement pas lui-même, il a autre chose à faire : ça ne passait pas. Ce dont en général l'artiste "connu" qui a fait ce retour sur lui-même, et à quel prix, se fout en général totalement. Il s'est retrouvé : c'était bien plus important pour lui. Pour le reste, il a donné.
Je peux citer des noms : mais vous ne les reconnaîtriez pas je pense : ce ne sont pas forcément des photopgraphes, qui s'ils m'ont fait vivre, ne m'ont pas impressionée particulièrement, et à tort, je le reconnais. Je crois bien que pour moi : il y avait Doisneau, et que ça s'arrêtait là. Pour le reste je faisais avec. Ce n'est qu'assez récemment et depuis le numérique : que j'essaie de réparer cette erreur de ma part, et payer ma dette d'une certaine façon, à tous les photographes PROS pour lesquels j'ai, sur une simple décision de ma part : participer à faire la carrière ou la défaire. Et ceci, j'ai choisi de la faire ici, parce que l'occasion m'en a été donnée, et pour moi seulement.
Et avec la spécificité française, une de plus, de la manie de la dichotomie à outrance : ce serait tout à fait inutile de citer des noms. Les français ayant perdu tout sens de la transposition : c'est bien dommage, tout autant que l'esprit de synthèse. Quant à la communication et l'empathie : n'en parlons même pas. On s'écoute parler dans ce pays, on entend rarement l'autre en même temps. Surtout lorsqu'il s'agit de ces fameux "spécialistes". Sauf exception, cela va sans dire.
C'est justement pour cela qu'il m'a fallu une semaine, j'irais jusqu'à dire d'angoisse, pour décider si j'entrais ici ou non : à part Dune, qui était à ma portée : j'allais entrer dans l'inconnu, démunie de tout. Mais ce n'est pas ma première expérience dans ce domaine : et elles m'ont toujours été bénéfiques, à moi-même, en tout premier lieu, mais curiseusement : à ceux qui voulaient mien me laisser entrer dans leur domaine.
Je ne souhaite qu'une chose : c'est qu'ici aussi, cela se passe ainsi.
Je ne le garanti pas : pour rencontrer ses limites, il faut bien d'abord chercher à les dépasser. |
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Matériel Photo : minimaliste et numérique : PRAKTICA DCZ 5.4
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