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Citation de Jerome :
Il faut calculer le seuil de rentabilité  |
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Binvouai, 
Il faut :
Le prix du cadre ou du contrecollé, passe-partout pour faire une lame d’air entre le papier et la vitre. Main d’œuvre si ça passe chez l’encadreur. L’attache derrière le cadre, le tout traité anti-UV pour ne pas se foutre de la gu..le du client (pelliculage, vitre ou encre).
Le coup du tirage : en n&b ou en couleur, imprimerie ou imprimante, type et qualité de papier (le prix du papier ayant grimpé en flèche ces dernier temps.)
Le coût de revient de la photo en elle même, et la marge du photographe. ………. L’age du capitaine, on s’en fout. 
Et parce que rien n’est simple dans la vie, le tout doit répondre à la norme M1 de la loi anti-incendie.
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Matériel Photo : D90, Nikkor 105mm macro VR, SB-900, soufflet m42
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"Dans un incendie, entre un Rembrandt et un chat, je sauverais le chat." - Alberto Giacometti.
L'art contemporain ne vaut pas un bon plat mijoté quand on a faim !
Les abrutis capables d'acheter très chère une "noeuvre" ne m'intéressent pas hormis quand il s'agit de sauver un "générateur d'émotions" du désastre. L'art est gratuit car la folie ne s'achète pas non plus. Ceci dit, il faut bien vivre ma brave dame....c'est à l'artiste de relativiser sa subsistance...le confort n'a jamais créer des Baudelaire, des Verlaine, des Gauguin, des Van Gogh,...le combat quotidien de ces artistes libérateurs passait souvent plus par le souci d'avoir assez d'argent pour acheter l'encre, les toiles (la carte mémoire, la pellicule...) et accessoirement à manger...
Le prix d'une oeuvre photographique quand on est amateur ?
Dans un premier temps : le ramener à son coût de revient (Jérôme  , Irakere ) en intégrant tout ce qui rentre en compte dans la fabrication de l'objet final (y compris un coefficient sur le matériel qui vieillit) et puis l'afficher comme prix de vente !
Si vous trouvez un acheteur qui vous dit : "mais vous êtes inconscient, cette photo est géniale, laissez-moi vous en donner le double" laissez-le croire que l'inconscient c'est vous car il n'y aura pas "photo à l'arrivée" ! |
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Matériel Photo : Leica m9p - 35mm - autofocus: non - mode: manuel
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Vous vous souvenez de l'ane qui peignait avec sa queue ..ça c'est bien vendu aussi..
Résumé / Abstract
Fondé en 1884, le Salon des Artistes indépendants n'a pas de jury, il est ouvert à quiconque souhaite soumettre son oeuvre au jugement du public. En 1910 Roland Dorgelès, jeune journaliste, veut dénoncer la déconsidération qui résulte de ce libéralisme. Il veut aussi tourner en dérision les audaces des écoles nouvelles (Fauvisme, Futurisme) et les étrangetés que la critique du temps impute aux étrangers. Pour mystifier les amateurs, il expose un « Coucher de soleil sur l'Adriatique » que le catalogue attribue à J. R. Boronali et dont un constat d'huissier, publié dans un magazine, atteste qu'il a été fabriqué par un âne. La lecture de la presse qui commente cette « farce de rapin », montre que celle-ci n'a pas fait rire tout le monde. Car elle met en question la « valeur » que chacun attribue à l'oeuvre d'art
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